Et si le 1er de l’An était une forme de « reset », c’est-à-dire un redémarrage de ce que nous sommes ?
Et si le 1er de l’An nous permettait de nous réinscrire dans un cycle nouveau ?
Et avant d’aller chercher le meilleur, si nous nous débarrassions déjà du pire ?
Ainsi, faire des vœux, c’est un peu comme si chacun de nous était JANUS, ce Dieu romain des commencements et des fins : des choix, du passage et des portes.
Sa particularité étant qu’il avait un double visage, avec une face tournée vers le passé et l’autre tournée sur l’avenir
Et que veut dire « SOUHAITER » ?
Souhiater n’est pas vouloir. Souhaiter n’est pas faire. C’est juste « laisser flotter » et ne pas chercher à tenir. Et ce n’est pas rien.
Et souhaiter avec bonté serait notre capacité à transmettre sans rien attendre en retour, pour laisser l’autre s’en saisir en son lieu et en son temps. Ce n’est donc pas attendre une action immédiate. Souhaiter vaut soutient, vaut « je crois en toi »
Ces propos sont la traduction synthétique de notre atelier philosophique de ce matin conduit par Bernard Benattar et avec la participation active de nos adhérents présents et de nos invités
Ce fut inspirant à pleins d’égards, alors faites vos vœux ou vos souhaits comme il vous semblerait bien, beau, bon, vrai, juste.
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